La jeunesse venue de tout Paris et d’ailleurs vient en masse pour profiter de cette ambiance postindustrielle poétique où la nature reprend timidement ses droits et où flottent encore les relents d’huile et de métaux chauffés. Opération réussie malgré des prix élevés et l’interdiction d’introduire boissons et nourriture. Des conditions qui ne semblent pas décourager un public qu’on imaginerait aisément croiser dans des endroits similaires à Londres, Berlin ou New York. Après une ouverture tumultueuse avec le voisinage, les organisateurs semblent avoir trouvé un modus vivendi acceptable pour les riverains de la cité. Visite en images (cf. version papier).
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