Il y a des règles qui sont faites pour être dépassées : pourquoi n’être que coach de boxe quand on peut vendre des financiers aux fruits de la passion ? Et pourquoi agrémenter des cookies de pépites de chocolat quand on peut les garnir d’un insert, saveur lutte contre les oppressions ? La première devanture est noire, la seconde est rouge vif. Les feuilles des oliviers de la terrasse sont vertes quand elles ne sont pas argentées. C’est comme si Djilani Hamadi et ses sœurs avaient rendu explicite ce qui était déjà limpide. Quand il ne donne pas des cours de muay thaï (1) dans la salle dirigée par Jean-Charles Skarbowsky (voir n° 325), Djilani gère Résilience, un coffee shop ouvert en avril dernier. « J’ai découvert le concept il y a dix ans en Thaïlande, (...)
Six mois après son ouverture, le coffee shop Résilience remplit sa mission initiale : proposer aux clients une bonne dose de plaisir sucré, caféiné et… militant.
Photo : Julia Velázquez Charro

« Les Nanas » envahissent la rue Letort
Du basket pour les jeunes pousses
Une start-up installée CHEZ NOS aînés
dire la parole et la souffrance des paysans
Marie-Line Tassius, militante de l’art
