Le déplacement des usagers de drogues de Stalingrad aux jardins d’Eole par la préfecture, sans concertation ni même information des riverains et des associations, provoque déception, inquiétude et colère. « Rendez-nous notre parc, rendez-nous notre parc ! », scandent les habitants. Ce lieu vert et ouvert devait favoriser le vivre ensemble dans ce quartier multiculturel. Aujourd’hui, la réalité est bien différente. Si certains riverains n’hésiteraient pas à adopter des mesures radicales, d’autres, à l’instar des associations d’aide aux consommateurs de drogues et des élus, demandent que l’on aille au-delà.
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