Il y a un an, nous sortions un numéro collector pour fêter les 30 ans de votre journal local préféré. Cette édition spéciale faisait la part belle à nos archives et se voulait être, ainsi, une photographie des trois dernières décennies de notre arrondissement. Aujourd’hui, c’est à vous de pouvoir vous plonger dans l’histoire de notre territoire, à travers les yeux et les plumes du 18e du mois, car il est désormais possible de consulter (gratuitement) plus de 300 numéros sur notre site internet. Un travail de mémoire et d’histoire que nous allons continuer à défendre et proposer dans les mois et les années à venir. Cela commence dès ce numéro d’octobre, dans lequel nous vous racontons encore plein d'histoires incroyables.

Elles sont là ! Après de longs mois de travail, nous sommes fiers de vous annoncer que l’intégralité de nos archives a été numérisée par la Bibliothèque nationale de France.

Pique-nique, danse et jeux de cartes, aux Jardins d’Éole, la communauté tibétaine parisienne se retrouve chaque dimanche pour conserver vivantes ses traditions et sa culture.

Ancien grand patron devenu psychothérapeute, Olivier Legrain, millionnaire de gauche de 73 ans, est le mécène de plusieurs médias indépendants. Surtout, il a mis la main à la poche afin de lancer la Maison des médias libres qui verra le jour au 70 boulevard Barbès.

En septembre, nous évoquions la potentielle disparition de ce tiers-lieu, mis en redressement judiciaire. Quelques semaines plus tard, la situation a quelque peu changé.

Que reste-t-il du Maquis tout en haut de la Butte ? Un tableau de Van Gogh, le nom d’un bar rue Caulaincourt, le Bistrot du Maquis, un (faux) rocher dit « de la sorcière » dans un passage, des cartes postales, des images et surtout… des légendes urbaines. Il s’est développé après 1890 et a connu sa plus grande extension au tournant du XXe siècle, avant la démolition qui a débuté le 15 juillet 1904 et s’est achevée en 1939. De nos jours, la mémoire du Maquis est encore bien vivace.

Personnage affable, rieur et sociable, ce danseur et chorégraphe tisse des liens entre le 18e arrondissement et son pays d’origine, le Cameroun.