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décembre 2022 / Le dossier du mois

De compagnie ou sauvages, des animaux dans la ville

par Magali Grosperrin, Sylvie Chatelin

Domestique ou à l’état naturel, l’animal est partout chez lui dans Paris. Chiens et chats sont les plus proches de l’homme. Mais il faut aussi composer avec les rats et les pigeons, qui ne sont pas nécessairement malvenus. Ainsi que protéger certaines espèces à plumes telles que les moineaux. Comment mieux vivre avec eux, qu’il s’agisse de les éduquer, les protéger ou les contenir ? Petit tour de quelques espèces avec lesquelles les Parisiens partagent leur espace public.

Petit tour de quelques espèces avec lesquelles les Parisiens partagent leur espace public :

Dans le même numéro (décembre 2022)

  • A poils ou à plumes, le pavé parisien se partage aussi avec les bêtes

    Un chien dans la ville

    Magali Grosperrin
    Paris compte 29 parcs canins, dont deux dans le 18e. C’est encore trop peu, et bien que les chiens soient nombreux dans la capitale, il faut ferrailler pour qu’une réelle place leur soit accordée dans l'espace public, en bonne intelligence avec leurs congénères et avec les humains.
  • A poils ou à plumes, le pavé parisien se partage aussi avec les bêtes

    De chats errants à chat libres

    Sylvie Chatelin
    Des amoureux les nourrissent, d’autres les pourchassent. A la mairie du 18e, on tente de rendre leur présence acceptable.
  • A poils ou à plumes, le pavé parisien se partage aussi avec les bêtes

    Habitez-vous dans un quartier moineaux ?

    Sylvie Chatelin
    Voici quatre ans, Paris lançait l’appel à manifestation d’intérêt en faveur des moineaux dont la situation est alarmante : près d’un sur quatre a disparu à Paris depuis les années 2000. Synthèse des principales constatations de ce dispositif publiées par la direction des espaces verts (DEVE).
  • A poils ou à plumes, le pavé parisien se partage aussi avec les bêtes

    Le rat, ce mal-aimé [Article complet]

    Sylvie Chatelin
    Le surmulot rattus norvegicus, plus connu sous son petit nom de « rat » véhicule beaucoup de fantasmes. Sa présence (contrôlée) en ville n’est pourtant pas inutile. Portrait et défense de celui qui accompagne les hommes depuis toujours.
  • La vie du 18e

    Mise à l’abri des migrants : on n’y croit plus

    Joachim Jarreau
    Après une accalmie durant la crise sanitaire, les campements de personnes exilées sont de retour dans le nord-est parisien, assortis du cycle désormais familier : évacuation, mise à l’abri, reformation d’un camp. En arrière plan, le gouvernement diminue pourtant le nombre de places en hébergement d’urgence.
  • La vie du 18e

    Le houx, ce petit rouge qui pique

    Jacky Libaud
    Le houx, bel arbuste décoratif, sert de garde-manger aux oiseaux au cœur de l’hiver qui se régalent de ses jolies baies rouges. Mais n’est pas oiseau qui veut. Attention à ne pas laisser petits et grands les consommer, elles sont toxiques pour les humains.
  • La vie du 18e

    Graine de jardins, dans la fleur de l’âge

    Dominique Boutel
    L’association Graine de jardins, fondée en 2001, a fêté le 16 octobre dernier ses vingt ans d’actions pour la création de jardins partagés en milieu urbain et semi-urbain. Retour sur une histoire de luttes et de réussites.
  • La vie du 18e

    Lycées Valadon et Rabelais : fermeture avec préméditation ?

    Perrine Kempf
    La Région a annoncé la fermeture prochaine de neuf lycées parisiens. La mobilisation s’organise dans les deux établissements du 18e concernés face à ce qu’enseignants et parents considèrent comme une perte de chance pour les élèves.
  • Clignancourt - Jules Joffrin

    Rideau sur la Divette : derniers Verts à Montmartre

    Pia Carron
    L’auvent vert de La Divette est définitivement rangé. Le célèbre bar de la rue Marcadet et repaire des supporters de Saint-Étienne a fermé ses portes début novembre. Son bail n’a pas été renouvelé.
  • Montmartre

    Le CLAP aux enchères

    Erwan Jourand
    L’appel à projets concernant le terrain actuellement occupé par le CLAP, entre l’avenue Junot et la rue Lepic, suscite de nombreuses convoitises.
  • Histoire

    Mesrine, de la rue Boinod à la Porte de Clignancourt

    Annick Amar
    « Nous savons tous, sans exception, que nous sommes condamnés à mort à notre naissance… Je ne trouve pas plus con de mourir d’une balle dans la tête que de mourir au volant d’une R16, ou à Usinor en travaillant pour le SMIG… Mon métier, c’est de braquer. Alors mourir ou prendre le risque de mourir quand on vit dans la violence… », déclarait Jacques Mesrine au journal Libération en janvier 1979.
  • Les Gens

    Yseult Delgeon, des bébés aux choux

    Sylvie Chatelin
    Son parcours a toujours mené Yseult Delgeon vers la vie, tout d’abord lorsqu’elle était sage-femme et maintenant comme maraichère où elle fait naître du vivant et nourrit une centaine de familles. Portrait d’une grande fille, aux yeux clairs et doux, une femme fidèle à ses convictions.