Quatre ans après, Energies Désespoirs – Un monde à réparer est de retour au Cent quatre. « On essaie de partager un état du monde avec des images qui ont plusieurs niveaux de lecture, explique Nicola Delon, architecte et co-créateur de l’exposition. Elles peuvent être surprenantes, angoissantes, faire sourire, elles montrent en tout cas que tout ne va pas bien mais que tout n’est pas foutu. »
L’exposition est conçue pour mettre en évidence les dérives environnementales et les solutions qui émergent. Chacun des 116 panneaux peints qui la composent est accompagné d’un carton explicatif fondé sur des données scientifiques ou des faits observés. Ici, la création d’une bourse mondiale de l’eau en Australie, là, l’adoption d’une loi accordant au fleuve (...)